ISBN 2 9518463 4 7 EAN 9782951846340

J’ai une allergie
aux poils de lapin
24 pages
Format 20 cm x 19 cm
9.90 euros

Catherine Saussine a écrit ces textes, inspirés d’histoires vraies, afin de donner des outils pédagogiques et thérapeutiques aux parents ou aux éducateurs.

Docteur en médecine, Gérard Athias pense que les maladies sont l’expression de douleurs émotionnelles. Verbaliser l’événement douloureux permet de se libérer de cette souffrance.

À l’aide de courtes histoires, toutes inspirées de situations réelles :
• montrer ce que le silence des mots a provoqué comme maladie chez les enfants ;
• chercher dans le vécu de l’enfant quels mots ou quelle situation sont à l’origine de la maladie et comment accéder à la résolution du problème. Il est indispensable que l’enfant verbalise l’événement qui a provoqué sa maladie. Les mots sont guérisseurs, les maux peuvent alors disparaître ;
• donner aux parents des pistes pour libérer la parole de l’enfant qui souffre seul à leurs côtés et aider ce dernier, par l’évidence des mots, à se libérer de son ressenti douloureux.

La COLLECTION PYGÉ propose aux jeunes lecteurs de découvrir à travers des histoires vraies une façon différente d’appréhender la maladie. Les différents pictogrammes, au fil de l’histoire, symbolisent les ressentis de l’enfant face à un événement. Une fois la difficulté repérée et dépassée, le pictogramme s’illumine.

LA STRUCTURE DE L’HISTOIRE

AVANT CHAQUE RÉCIT
• Un bref exposé de la problématique liée à la maladie.
• Une « lecture » de l’histoire mettant en évidence pourquoi la maladie s’exprime.
• Une proposition de solution pour montrer à l’enfant comment il peut dépasser l’événement à l’origine de sa maladie.

POUR CHAQUE RÉCIT, UN MÊME CANEVAS
• Un personnage central auquel l’enfant s’identifie : Chloé, Thomas, Clémentine…
• Une pathologie : les allergies aux poils de lapin, au pollen de mimosa, la varicelle…
• Un parent ou un ami qui cherche à retrouver la situation déclenchante que l’enfant a vécue dans l’isolement ; il permet alors à ce dernier de la verbaliser.
• La résolution : les mots permettent à l’enfant de dépasser l’événement.


 





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